Ce blog vous présente ma collection de blu ray, avec un descriptif le plus complet possible en espérant vous donner une idée précise sur les nouveautés blu ray sorties récemment.
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OCEAN'S ELEVEN
Publié le
par karim
HISTOIRE :
À sa sortie de prison dans le New Jersey, Danny Ocean s'apprête à monter un coup qui semble impossible à réaliser : cambrioler simultanément les trois plus gros casinos de Las Vegas : le Bellagio, le Mirage et le MGM Grand Las Vegas. Il souhaite par la même occasion récupérer son ex-femme tombée sous le charme de Terry Benedict, le propriétaire de ces trois somptueux établissements de jeux.Pour ce faire, Danny compose une équipe de dix malfrats maîtres dans leur spécialité. Parmi eux figurent Rusty Ryan, maître dans l'art du bluff, Linus Caldwell, le pickpocket le plus agile qui soit ; Basher Tarr, un expert en explosifs ; Ruben Tishkoff, qui connaît les systèmes de sécurité des casinos sur le bout des doigts et est la "banque" des comparses ; Livingston Dell, sorcier en informatique ; les frères Virgil et Turk Malloy, capables de revêtir plusieurs identités et pilotes hors pair ; Frank Catton chargé "d'infiltrer" le casino; Saul Bloom, un vieux routier qui se fait passer pour un riche client afin de récuperer des informations et Yen, véritable contorsionniste et acrobate.
FICHE DU FILM :
Titre: Ocean's Eleven Titre québécois : L'Inconnu de Las Vegas Réalisateur: Steven Soderbergh Scénario: Ted Griffin, adaptation du scénario original de Harry Brown et Charles Lederer d'après une histoire de George Clayton Johnson et Jack Golden Russell Production: Jerry Weintraub; Warner Bros. Pictures Image: Steven Soderbergh (sous le nom de Peter Andrews) Direction artistique: Keith P. Cunningham Montage: Stephen Mirrione Musique: David Holmes Pays d'origine : États-Unis Sortie: 7 décembre 2001 (É.-U.), 6 février 2002 (France) Type: Comédie d'action Durée : 116 minutes
CASTING :
George Clooney (VF : Samuel Labarthe et VQ : Daniel Picard) : Danny Ocean Brad Pitt (VF : Jean-Pierre Michaël et VQ : Alain Zouvi) : Rusty Ryan Matt Damon (VF : Damien Boisseau et VQ : Gilbert Lachance) : Linus Caldwell Andy Garcia (VQ : Jean-Luc Montminy) : Terry Benedict Don Cheadle (VF : Lucien Jean-Baptiste et VQ: François L'Écuyer) : Basher Tarr Bernie Mac (VQ : Éric Gaudry) : Frank Catton Julia Roberts (VF : Céline Monsarrat et VQ : Claudie Verdant) : Tess Ocean Casey Affleck (VQ : Sébastien-François Reding) : Virgil Malloy Scott Caan (VF : Lionel Melet et VQ : Louis-Philippe Dandenault) : Turk Malloy Carl Reiner (VQ : Hubert Fielden) : Saul Bloom Eddie Jemison (VQ : Renaud Paradis) : Livingston Dell Elliott Gould (VF : Bernard Tiphaine et VQ : Benoit Marleau) : Reuben Tishkoff Wladimir Klitschko : Lui-même Lennox Lewis : Lennox Joshua Jackson (VQ : Thiéry Dubé) : Lui-même Barry Watson : Lui-même Holly Marie Combs : Elle-même Topher Grace : Lui-même Shane West : Lui-même
DESCRIPTION BLU RAY :
image : Transfert 1080p MPEG 4 / VC1 Audio : Anglais, Français, Allemand, Castillan, Italien, Japonais, Espagnol en Dolby Digital 5.1 Sous-titres : Multiples Bonus : Commentaires audio (non sous-titrés), Making-Of (Documentaire HBO), Le Look de l'artiste et Bandes Annonces
image :
Proposé dans une version 1080p encodée en Mpeg 4 VC1, Ocean’s Eleven est un film au style visuel très particulier. Le réalisateur y joue avec les lumières intenses et diffuses qui noient parfois l’image dans une lueur blanche. La qualité du rendu HD n’est hélas pas extraordinaire. Seuls les plans serrés flattent la haute définition. L’imperfection dans le transfert sur support Blu-Ray consiste avant tout en un grain persistant s’invitant constamment et d’autant plus marqué dans les scènes sombres. L’interface, sans fioriture, est réduite à sa plus simple expression c'est-à-dire sans efforts de personnalisation.
audio : La bande son donne du rythme à l’action et baigne l’histoire d’une ambiance qui balance au même tempo que le déhanché du très décontracté Brad Pitt. Pour une fois, la restitution sonore est équivalente dans toutes les langues, mais hélas il s’agît d’un nivellement par le bas : compression DD 5.1 à tous les étages. Loin de noyer le spectateur dans l’enfer inaudible des salles de jeu de Las Vegas, le traitement audio fait la part belle aux dialogues, reléguant au second plan les cliquetis et autre babillages électroniques des machines à sous et des tables de jeu.