SPIDER-MAN
HISTOIRE :
Orphelin, Peter Parker est élevé par sa tante May et son oncle Ben dans le quartier Queens de New York. Après avoir été mordu par une araignée génétiquement modifiée qui s'était échappée, il se découvre des pouvoirs surnaturels. À la suite de circonstances l'ayant accidentellement rendu responsable du meurtre de son oncle, il se fabrique un costume et décide de mettre ses pouvoirs au service du bien sous le nom de « Spider-Man ».
FICHE DU FILM :
- Réalisation : Sam Raimi
- Scénario : David Koepp
- D'après l'œuvre de : Stan Lee
- Produit par : Laura Ziskin et Ian Bryce
- Production executive : Stan Lee et Avi Brad
- Production : Columbia Pictures
- Directeur de la photographie : Don Burgess
- Musique : Danny Elfman
- Createur des costumes : James Acheson
- Montage : Arthur Coburn
- Genre : Fantastique, Super-Heros, Aventure
- Durée : 1h54
- Tous publics
CASTING :
- Tobey Maguire (VF : Damien Witecka et VQ :Hugolin Chevrette) : Peter Parker/Spider-Man
- Willem Dafoe (VF : Éric Herson-Macarel et VQ : Guy Nadon) : Norman Osborn/le Bouffon Vert
- Kirsten Dunst (VF : Marie-Eugénie Maréchal et VQ : Aline Pinsonneault) : Mary Jane Watson
- James Franco (VF : Philippe Valmont et VQ : Antoine Durand) : Harry Osborn
- Cliff Robertson (VF : Marc Cassot et VQ : Denis Mercier) : Ben Parker
- Rosemary Harris (VF : Monique Martial et VQ : Françoise Faucher) : May Parker
- J.K. Simmons (VF : Jean Barney et VQ : Pierre Chagnon) : J. Jonah Jameson
- Gerry Becker (VQ : Claude Préfontaine) : Maximillian Fargas
- Michael Papajohn (VF : Emmanuel Karsen et VQ : Thiéry Dubé) : Le voleur de voiture
- Stanley Anderson (VQ : Raymond Bouchard) : Général Slocum
- Ron Perkins (VQ : Hubert Gagnon) : Dr Mendel Stromm
- Amy Bouril (VQ : Nathalie Hamel-Roy) : Secrétaire de Jameson
- Deborah Wakeham (VQ : Johanne Léveillé) : Mère de Billy
- Bruce Campbell (VF : Gérard Rinaldi et VQ : Yves Corbeil) : Commentateur ring
- Una Damon (VQ : Isabelle Leyrolles) : Présentatrice au laboratoire
- Tim De Zarn (VQ : Jean-Marie Moncelet) : Philip Watson (Père de Mary Jane)
- Lou Torres (VQ : Daniel Lesourd) : Enrique
DESCRIPTION BLU RAY :
image : 1080p/AVC MPEG-4 1.85
audio : English Dolby TrueHD 5.1 Surround French Dolby Digital 5.1 Surround Spanish Dolby Digital 5.1 Surround Portuguese Dolby Digital 5.1 Surround Thai Dolby Digital 5.1 Surround
sous titres : anglais français espagnol....
bonus : pas de bonus
image :
Très beau mais légèrement en deçà de ce à quoi nous étions en droit de nous attendre, voici les premiers mots qui nous viennent. Les scènes en extérieur jour accusent par moments des blancs un peu trop soutenus, perturbant ainsi quelque peu le jeu des couleurs. Alors certes les rouges sont bien rouges et les verts bien verts (idéal pour les deux personnages phares de cet opus) mais les teintes des visages tendent par instants à tirer un peu trop vers le rose pale et perdent donc en naturel et en chaleur. D'autres scènes auraient à l'inverse, pu bénéficier d'un éclat plus chaleureux et de noirs plus solides (la scène du premier baiser en est un des exemples les plus frappants).
audio :
Si l'image demeure donc perfectible, la piste TrueHD 5.1 anglaise se montre particulièrement à son aise et ce sur tous les plans. Que l'on se concentre sur l'ouverture frontale ou bien sur l'exploitation des canaux surrounds, le constat est le même : Diablement énergique. Les dialogues, tout en se détachant à merveille sur la voie centrale ne manquent pas puissance (peut être trop d'ailleurs) et se voient habilement soutenus par des canaux stéréo précis et excellemment balancés. Quant à nos enceintes surrounds, elles bénéficient d'une précision envoutante, nous donnant le tournis lors des nombreuses scènes d'action et ne manquant pas de pertinence lors des passages plus calmes. Les réfractaires aux versions originales devront se contenter d'un français Dolby Digital 5.1 et d'un encodage 640Kbps. Autant dire tout de suite que, malgré ses qualités évidentes, elles peine à se hisser à la hauteur du mixage TrueHD. Quoiqu'il en soit, avec une dynamique légèrement plus soutenue que sur l'édition SD, l'expérience sonore demeure particulièrement agressive et remplie son office d'une belle façon.